Histoire
CREATION A TURIN EN 1957
Costantino Repossi, doté d'une passion pour l'Art Déco et d'une vision unique du design industriel, a établi les fondements de la Maison Repossi avec l'ouverture de sa première boutique à Turin en 1957. Dans un premier temps designer pour la marque automobile FIAT où il a pu mettre à profit son savoir-faire technique, il a ensuite insufflé son amour pour la création et le savoir-faire artisanal, transmettant ainsi à son fils Alberto un héritage précieux.
OUVERTURE DE LA BOUTIQUE A MONACO EN 1978
Alberto Repossi, fils du fondateur, a commencé à dessiner ses propres pièces très jeune. Après avoir été formé à l'orfèvrerie dans les ateliers familiaux, il a commencé à travailler aux côtés de son père au début des années 70 et a rapidement transformé la Maison en une référence mondiale de la joaillerie. Grâce à sa maîtrise des pierres précieuses et à son grand sens du volume, il a créé des pièces iconiques à l'identité forte, maintenant un équilibre entre confort et féminité. Les créations d'Alberto, caractérisées par leurs couleurs vibrantes et leur grandeur, ont captivé les familles royales et princières.
INSTALLATION PLACE VENDOME
Du glamour des années 80 à l'élégance de l'avant-garde parisienne, la Maison s'est ancrée Place Vendôme en 1986, année de naissance de Gaia, la fille d'Alberto Repossi. Celui-ci a présenté ses créations opulentes à une clientèle internationale, consolidant la place de la Maison dans l'époque et embrassant l'innovation pour redéfinir sans cesse la joaillerie.
REGENERATION AVEC GAIA ET LE STUDIO
L'histoire de Repossi s'est enrichie avec Gaia Repossi, la fille d'Alberto, qui a insufflé une nouvelle énergie créative à la Maison. Agée seulement de 21 ans, elle réinvente le solitaire traditionnel en faisant flotter les diamants entre deux doigts donnant naissance à l’iconique collection Serti sur Vide. Depuis, le Studio Repossi réinvente encore les codes traditionnels joailliers, mêlant bijoux primitifs à l’art moderne et à l’architecture pour des pièces audacieuses destinées à être portées comme un « Art à Porter ».